DU FEMININ (SUITE) 2020 BRAN DU 28 08 AOUT
"Osmose" Création/photos Bran du
DU FEMININ (suite) Bran du / Aout 2020
Source revue OBRS (L'Autre Planète) Hors Série FEMININ...
« Nous ne sommes pas des victimes, nous sommes des « survivantes.»
Du féminisme :
« Le « Féminisme » peut être défini comme une prise de conscience d'abord individuelle puis collective suivie d'une révolte contre l'état des rapports entre sexes et la position subordonnée que les femmes occupent dans une société donnée à un moment donné. »
D'où des analyses et des élaborations conceptuelles des moyens de lutte pour changer ces rapports...
Les Femmes et le cinéma :
« Les femmes filment avec nuances toutes les gammes du sensible » pour raconter d'autres histoires ou les raconter sous un autre angle, de manière plus fine, disons-le, plus intelligente....
Femmes sorcières ou « sourcières » !
Entre 50 000 et 100 000 milles personnes ont été exécutées pour sorcellerie en Europe principalement au XVIè et XVIIè siècles. 85 % des condamnées étaient des femmes...
La Déesse, la Femme, la Nature....
Ana Mendieta (cubaine, performances, vidéos, photographies.)
Elle explore la mémoire, la culture, les rituels, les passages du temps, incarnant notamment son union charnelle avec les éléments (l'eau, la terre, l'air, le feu). Elle met ainsi son corps en scène de 1971 à 1985, date de sa mort.
« Le féminisme ne se limite pas au féminisme, il est aussi plus vaste que la femme même si celle-ci est restée bien sûr le véhicule privilégié. Il est là, nous accueille, nous porte et nous soutient. »...
La Reine de Saba (Ethiopie) est aussi appelée Makeda (la puissance féminine qu'elle incarne, sa fonction initiatrice, elle est liée à une autre façon d'être au monde.) » Maji-Da Abdi
Une inscription sur la tombe d'Isis :
« Je suis tout ce qui est, qui fut et qui sera, et nul mortel n'a soulevé mon voile. »
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« L'équation millénaire : celle qui définit le rapport entre les hommes et les femmes, celle donc qui définit l'humanité, et donc la femme, les femmes, et leur quête de libération du joug masculin. » Farid Lozès
« De cette longue histoire de l'humanité, on utilise traditionnellement, dans le discours sur les origines de notre culture, que la phase patriarcale, comme si cette dernière phase recouvrait toutes les autres. On parle pourtant couramment d'un culte antérieur de la fécondité où la femme aurait joué un rôle essentiel.
Mais on pense généralement que de ces hautes époques on ne peut rien reconstituer de façon précise, faute de documents écrits. N'étant plus imprégnés de ces mentalités lointaines, il nous serait impossible de découvrir ses sens qui nous échappent.
Il se trouve pourtant qu'on a sous les yeux des représentations multiples de l'univers mental qui a successivement imprégné les peuples au cours du temps et que ces cultures d'avant l'Histoire, c'est-à-dire avant l'écriture, témoignent d'une ancienne culture vouée à la Déesse-Mère. »
« L'examen attentif de l'archéologie des mythes et de ses couches successives révèle l'ensevelissement d'une ancienne culture, vouée à une vision du monde en tout point contraire au parodigme guerrier et conquérant. La déesse-Mère alors n'était pas célébrée comme les dieux patriarcaux qui allaient la remplacer (voir l'exception avec Lug et sa mère adoptive Tailtiu à l'origine de la création de la fête celtique de la Lugnasad NDR)
On célébrait un principe féminin pas uniquement une divinité totémique. Nous parlions d'un autre paradigme, d'une autre planète... »
Farid Lozés
« ...La terre était ensemencée, la terre rendait, on construisait des cités et des temples pour répondre aux besoins humains de trouver sens aux grandes questions universelles : la vie, la mort, la sexualité...avec une vision du temps long et des grands cycles...
Les prêtresses des temples accomplissaient les rituels sexuels sacrés pour canaliser une sexualité créatrice....
mais les dieux menteurs étaient venus de l'extérieur pour voler les richesses acquises par des siècles de lentes maturation spirituelle et politique pour instituer leur violence et le viol, et les légitimer par la réécriture des mythes, amputant l'humanité de son ancienne culture. Les femmes furent les perdantes de cet affrontement idéologique, historique et politique. »
Farid Lozés
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Il y a une difficulté à dépasser la pensée binaire et à saisir la totalité simultanée et contradictoire... Comprendre ce qui fût et à été, comprendre ce qui est et inventer ce qui pourrait être....
Bien souvent le féminin fait face à une inter-complexité monolithique...
« Les hommes sont fragiles car construits sur les idées fausses de leur pouvoir. »
Ce n'est pas le viril qui est en cause ; c'est l'amputation de son complémentaire. On ne peut pas « essentialiser » les genres et leur attribuer vertu et défaut... le féminin est dans le masculin et inversement ; On est imbriqué....
« La planète est mourante. Savoir se mettre en colère au bon moment, pour les bonnes raisons, est un art.
Etre en colère tout le temps, c'est une faillite.
Bousiller les hommes, c'est pas vraiment la solution.
Nous ne sommes pas responsables des usurpateurs millénaires. Bousculer les hommes, oui, il faut, mais pas les briser...
Hommes et femmes : réconciliation, respect... »
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Notes Bran du :
L'idée de polarité complémentaire en ce qui concerne les genres met en colère certains féministes qui considèrent que le Féminin est un « entier » qui n'a nul besoin additionnel ou d'équivalent.
Il est nullement détenteur de spécificités, mais possède toutes les potentialités et facultés pour animer pleinement sa vie sans recours nécessaire à un masculin censé apporter une plénitude ou complétude.
On prône une égalité de « droits », mais aussi une égalité dans tous les domaines de l'activité humaine...
Bran du
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« Une farandole de « sous-chapelles » ayant chacune sa propre définition du féminisme ! Quid pour saisir autant de variantes du féminisme et les multiples controverses qui en découlent ?
Il y a différents courants de pensée. Des études du genre avaient théorisées que c'était l'éducation qui faisait l'homme ou la femme.
L'ouverture de conscience avait muté en rupture avec la réalité en volonté militante d'effacer, au sens stricte, toutes les frontières tout particulièrement celle de la dualité des sexes. C'est une guerre de mots et de concepts...
« Dire notre vérité est l’outil le plus puissant que nous ayons. Dire ce comportement réel des hommes et des femmes, comment nous ressentons la honte, comment nous aimons, comment nous nageons, comment nous échangeons, comment nous reculons, comment nous persévérons et comment nous surmontons l'adversité... »
Oprah Wiafrey
« Sans introspection, (les activistes qui veulent changer le monde) sont très souvent pris au piège des habitudes et des croyances de leur inconscient, et de celui du public, ce qui peut finalement entraîner des stratégies erronées, de l'intolérance, des luttes d'égo, des désordres émotionnels, du cynisme, de l'épuisement... »
« Le patriarcat trouverait son origine il y a près de 5000 ans, à la fin du Néolithique, aux débuts des âges du Bronze et des civilisations de l'écrit...
Lorsque l'homme découvrit à la fois ses possibilités d'agriculteurs et de procréateur, il prit le pouvoir et détourna les choses à son profit. »
Françoise d'Eaubonne Le Féminisme ou la mort Ed Pierre Horay 1974
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Ian Larue : Merveilleuses Mères Veilleuses :
Une déesse universelle, déclinée en de multiples avatars, aurait précédé l'arrivée de « l'usurpateur » qu'est le dieu patriarcal unique des religions « à grand livre et grand homme » du pourtour méditerranéen...
Des éléments précis permettrait de montrer que cette transition est un coup de force, opéré avec violence, la déesse et ses avatars sont évincés et leur pouvoir est détourné à des fins patriarcales...
(Voir : Quand Dieu était Femme (The Gods and Godesses of ol Europe) Marija Gimbutas (archéologue lituanienne)
La révélation de la découverte de plusieurs milliers de statuettes néolithiques féminines (dans les Balkans) témoignent d'une civilisation perdue d'une durée d'au moins 9000 ans...
En révélant un pan immense autant ignoré de la culture du passé ces deux livres engendrent une prise de conscience féministe...
(Dans le bouddhisme existe la Tara verte qui est la principale figure féminine du Bouddha (En sanacrit ce nom signifie l'étoile ou la libération ou la déesse de la sagesse ou encore de la compassion...la « Tara verte » est l'aspect le plus courant de cette mère universelle.)...
Voir aussi :
La Déesse Blanche celtique de Robert Grave (The White Goddess Ed du rocher 1979)
et Le Rameau d'Or de James Georges Frazer R Laffont éditeur 1981.1984 4 volumes)
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Pour rappel :
Le code Napoléon (1804) :
« Les personnes privées de droits juridiques sont les mineurs, les femmes mariées, les criminels et les débiles mentaux. »
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Bran du Aout 2020 :
Conseils au masculin soucieux d'un autre rapport avec le féminin :
Ecouter le féminin qui s'écoute...
Porter attention au féminin qui porte attention à lui-même, qui se découvre ou redécouvre, qui se restitue ce dont on l'avait amputé...
« Définir » le féminin, c'est l'encoder de nouveau, le cloisonner dans nos projections, concepts et fantasmes, qu'il soit bien au contraire libre comme l'eau et le vent et qu'il épouse ce qu'il aspire à épouser. Qu'il explore son corps à la recherche de ses trésors enfouis ; de ses caches secrètes...
La mise en convergence d'entendements réciproques ne peut se situer dans le champ restrictif et conflictuel de la dualité, il s'agit donc de passer du « deux » au « trois » soit au principe régulateur et médiateur, à l'agent de conciliation et de dialogue, au principe transcendant au sein des oppositions et des antagonismes récurrents et redondants, à une dynamique symbiotique de compréhensions mutuelles...
Le fait d'agir, d'acter, de « faire » surtout à étymologiquement un lien sourcier et racinien avec la Poésie. Notre activité et donc « faisabilité » se devrait donc « originellement » d'être éminemment poétique dans sa mise en œuvre, ses expressions et manifestations....
On ne saurait définir cette Poésie, mais on peut s'en approcher quand on conçoit qu'elle est la Vie elle-même, le « service de la Vie », une Vie dont nous sommes lors masculin et féminin réunis, les servants et les servantes...
C'est peut-être dans ce « service », dans ce terme de servante et de serviteur, que nous pouvons trouver un axe symbiotique d'entendements et de conjonctions de coordination et de sereines conjugaisons ?
Il est proposé comme remèdes efficaces pour un mieux être féminin d'une part que celui-ci soit créateurs de liens, de reliances, d'outils, de supports et de méthodes relationnelles, ce qui consiste à développer une extériorisation de la personne, de l'individu enclos en sa féminité et d'autre part, d'explorer, de revisiter celle-ci intérieurement afin d'en assurer une maturation productrice de résolution et de confortement hautement fastes et bénéfiques....
On sait bien mieux exprimer ce qui ne nous convient pas ou plus que ce à quoi on aspire le plus, alors faisons déjà un inventaire des surplus inutiles et des concessions inacceptables, listons ce qui ne saurait nous convenir et nous agréer, débarrassons le « féminin » et le « masculin » des recouvrements qui ne sont pas faits pour eux et qui en font des épouvantails l'un pour l'autre !...
La mise en rapport, en relation, en "accord" des deux "polarités" se doit mutuellement, réciproquement, de permettre à l'un avec l'aide de l'autre de découvrir en lui-même ce qui le rapproche de cet autre et ainsi d'établir des passerelles d'entendements renforcés...
Il ne s'agit ni de dilution ni de mimétisme, mais de recouvrance de facultés et de capacités de compréhension qui faisaient défaut jusqu'alors...
Il ne s'agit surtout pas de "mouler" l'autre à l'image que l'on s'en fait et à laquelle on voudrait qu'il ressemble, mais bien de l'aider, de l'accompagner, de le soutenir, de le stimuler dans l'éclosion intérieure de sa personnatilté spécifique...
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Feminin et nature
La déconnexion avec la nature s'accompagne d'une profonde déconnexion avec nous-mêmes. Deux clefs ont été importantes pour nous : l'écopsychologie et l'écoféminisme....
Retour au féminin dans ses valeurs, mais aussi en épousant ses processus : primauté de l'expérience sur la théorie (le Travail Qui Relie) Johana Macy et l'écopsychologie profonde.
Ce T Q R s'adresse aux femmes blessées dans leur féminin autant qu'aux hommes. C'est un cours accéléré d'empathie et de reliance. Les initiations à la féminité et à la masculinité sont d'une grande aide sur Le chemin...
Pour le féminin, le thème central de la création est l'interdépendance ; l'esprit logique est la seule façon de connaître la réalité, et cette dernière est mécanique.
La proposition : rééquilibrer les deux polarités au sein de la société...
Pour le féminin, faire des liens : entraide, décloisonnement, interdépendance, alliance avec les autres humains, et développer notre « intériorité » (nos émotions, intuitions, notre spiritualité...)
D'un côté les liens seraient précieux pour vivre les pénuries et les milieux hostiles, de l'autre l'intériorité viendra faire mûrir nos actions afin de donner une autre dimension à la tant attendue « transition »...
Ardeur, intégrité et cohérence nous offrent une superbe piste vers la plénitude, le tissage des liens et la puissance créative du (de leur) féminin...
« Une société qui pourrait guérir ce monde démembré reconnaîtrait la valeur inhérente de chaque personne, ainsi que celle de la vie végétale, animale et élémentaire qui constitue le corps vivant de la terre. »
Cela créerait une protection réelle, encouragerait la liberté d'expression et rétablirait un équilibre écologique durable sur le plan biologique et économique. Cette société honorerait ainsi le mystère, l'émerveillement face à tout ce qui nous dépasse et ce qui nous entoure et face aux forces qui portent nos vies et la complexe beauté de leur danse. »
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Starhawk / Militante, écoféministe, Altermondialistre et sorcière... (la reine incontestée de la Wicca...)
« La conscience donne forme à la réalité ; la réalité donne forme à la conscience » idem
« Nous sommes chacun une ride dans la nimbe de la terre...
La physique moderne ne parle plus des atomes séparés et isolés d'une matière morte, mais de vagues de flux d'énergies, de probabilités, de phénomènes qui changent quand on les observe...
Elle reconnaît que les chamans et les sorcières ont toujours su que l'énergie et la matière ne sont pas des forces séparées, mais des formes différentes de la même chose. » idem
L'énergie se déplace en cycles, cercle, spirale, vortex, tourbillons, pulsations, vagues et rythmes...
Rarement et même jamais en ligne droite...
Proclamation des quatre éléments sacrés :
(Myriam Starhawk Simos (Théoricienne d'un néo-paganisme et psychologue... (Rêver l'obscur)
« Tout a commencé dans l'amour, tout cherche à revenir à l'amour. L'amour est la loi, celui qui enseigne la sagesse et révèle les mystères. »
« Notre salut demande à la fois résistance et renouveau : dire non à ce qui est afin de remodeler et de recréer le monde. Notre défi est collectif, mais pour y faire face, nous devons nous autonomiser en tant qu'individus et créer des structures de soutien et de célébration pouvant nous enseigner la liberté.
La création est la résistance ultime ; le refus ultime d'accepter les choses telles qu'elles sont car c'est dans la création que nous rencontrons le mystère, la magie et l'aventure humaine. »...
« La terre est un être concret et vivant. Ensemble et inspirés par de nombreuses cultures venues de temps et de lieux différents, nous déclarons sacrés l'air, le feu, l'eau et la terre... que nous y voyons le souffle, l'énergie, le sang et le corps de la Mère où les dons sacrés du Créateur ; ou encore les symboles interdépendants des systèmes qui maintiennent la vie et nous savons qu'il est impossible de vivre en leur absence...
Déclarer ces éléments comme sacré, c'est reconnaître leur valeur bien au-delà de leur seule utilité aux fins humaines, c'est en faire les normes absolues qui régissent nos actions ; notre économie, nos lois et nos intentions, et s'imposent à elles.
Nul n'a le droit de se les approprier pour son profit et aux dépens des autres. Tout gouvernement qui renonce ou échoue à les protéger abandonne toute légitimité. »
« Tout le vivant fait partie de la vie terrestre et, à ce titre, est sacré. Aucun n'est supérieur ou inférieur à un autre. Seule la justice garantit l'équilibre ; seul l'équilibre écologique garantit la liberté et seule la liberté permet au 5è éléments sacré que nous nommons l'esprit, de s'épanouir dans toute sa pleine diversité...
Honorer ce qui est sacré, c'est créer les conditions dans lesquelles les ressources, la subsistance, l'habitat, la connaissance, la liberté, la beauté peuvent prospérer... Honorer ce qui est sacré, c'est rendre l'amour possible.
A ces fins, nous offrons notre curiosité, nos volontés, nos courages, nos silences et nos voix. A ces fins, nous consacrons nos vies. »
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La femme serait-elle l'avenir de l'Eglise ?
Paul VI à déclarer à propos du refus de l'admission des femmes dans l'Eglise :
« L'Eglise ne se sent pas autorisée à faire différemment. »
et le pape français d'ajouter :
« Je n'est pas senti l'Esprit saint à l’œuvre sur ce sujet. »
Pour les messieurs mitrés du Vatican, les femmes sont là pour être les « servantes » du Seigneur et aussi des hommes...
Paroles bibliques :
« Le chef de la femme, c'est l'homme.»...
« Elle a été créée pour l'homme.»
« Les femmes sont soumises à leur mari comme au Christ. »
(Épître aux Éphésiens)
12 hommes autour de la Cène et cela autorise l'Eglise à penser que la célébration du culte est réservé aux hommes !...
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« Et si Marie nous a fait défaut en devenant une marionnette de l'église manipulée par des mains sans amour, d'une manière ou d'une autre, il nous revient de lui substituer une déesse immaculée....»... (Orbs Spécial Féminin)
C'est un déni plus que millénaire du caractère sacré du féminin confronté sans cesse à une église qui s'obstine à l'exclure du sacerdoce pour des raisons injustifiables et non recevables... Cette position intransigeante et inflexible qui ne repose sur aucun argument susceptible d'être pris en compte explique en partie la désaffection de la pratique religieuse en Europe... L'Eglise Prostestante a fait elle, le pas, et ouvert le sacerdoce au féminin !
Bran du août 2020
