NOUS SOMMES TOUS "QUANTIQUE" REFLEXIONS A POURSUIVRE BRAN DU 2016 26 08 AOUT
photos Bran du
On pense tous « quantique » (Science et Vie) extraits
Réflexions, notes... Bran du
« Observer un phénomène en théorie classique ne le modifie pas, en théorie quantique si ! »...
« Nos pensées se superposent, interfèrent, s'intriquent dans notre cerveau... »
Les récentes expériences questionnent les règles de la logique classique ( dites « rationnelles » ou encore « pensée cartésienne ») éclairant d'un jour nouveau toute la psychologie humaine....
Lorsque nous pensons, raisonnons, percevons, jugeons ou prenons une décision, nous n'obéissons pas, en fait, en réalité, aux règles de la logique classique, mais à celles, étranges et biscornues, de la mécanique quantique, où les choses ne sont plus parfaitement définies, mais intriquées (enchevêtrer), ubiques (interférentes), oscillantes (non statique, mais dynamique) et superposées (dans tous les « états »possibles tant qu'une « mesure » n'est pas effectuée.)...
Nos états d'esprit sont d'abord des états quantiques .
De quoi mieux se comprendre et comprendre les autres...
Il s'agit d'applications expérimentales sur des objets extrêmement petits (microcosme.) (Electrons, noyaux atomiques, photons de lumière et autres particules...)
« - Quel rapport entre le discours intérieur de l'âme et le comportement de la matière dans le monde de l'infiniment petit ?
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Ils sont régis par les mêmes lois ! »
Le cheminement intérieur qui nous amène à prendre une décision, les réflexions qui se mettent en branle dans notre for intérieur, les associations d'idées... Seraient de nature quantique...
La raison employée ne résulte pas d'une logique classique, mais quantique avec des logiques totalement différentes...
(Cela chamboule complètement l'idée que nous avons de nous-mêmes et jette sur l'esprit humain une lumière aussi vertigineuse qu'inédite...)...
La mécanique cantique permet de décrire le comportement de la matière microscopique avec une précision sidérante... Mais avec une logique pour le moins bizarre ; ce qui se passe dans le monde de l'infiniment petit n'est pas régi par les mêmes lois que celles prévalant dans le monde ordinaire.
Ainsi une particule peut aussi être une onde, elle peut passer par plusieurs endroits à la fois, elle peut-être reliée à une autre par-delà l'espace et le temps...
Une Vibration hyper pénétrante en relation avec d'autres au-delà de toute limite et de tout obstacle (espace et temps confondus)...
(Ce qui est en jeu c'est par exemple dans le fonctionnement neurologique de nos neurones, la manière dont, ensemble, ils traitent l'information pour former les raisonnements...
Les bases, les souches et sources, les données et informations, assemblées avant que nous prenions une « décision », une «juste mesure si possible », qu'un raisonnement applicatif, en soit entendu, déduit et appliqué, nous viennent en quelque sorte et pour grande partie d'Ailleurs qu'en nous-mêmes et ce à partir de connexions, de mises en fréquence de réception et de captation qui puisent au sein même d'une sorte de Conscience-Univers !
Cela, dans une logique quantique, implique une « reliance » ; un canal de relation mit en place dès l'origine par une volonté et un désir « créateur » d'expérimenter l'humanité afin d'en retirer moultes enseignements et d'en parfaire si possible l'évolution et les « mutations/transformations » à opérer progressivement...
Il subsisterait donc un « lien » entre Créateur et Créature qui les associe tous deux au sein de l'Expérience humaine !...
Qui suis-je donc quand je pense, raisonne, juge, perçoit, réfléchit, rêve, hésite, décide ?...
Un être livré à lui-même, à ses choix et décisions, à ses outils et matériaux singuliers et spécifiques, aux données et informations existentielles accumulées et plus ou moins expérimentées, analysées, triées et stockées, en lui-même ?
(Sans autres ressources que celles inhérentes à sa personnalité, à sa vie propre, à ses données intrinsèques et personnelles.)...
Où un être qui au sein même de sa singularité et de sa spécificité « autonomes » dispose d'un branchement (quantique) avec des éléments extérieurs qui interfèrent dans la mesure appropriée qui sera prise en finalité du questionnement ou de la réflexion ?...
Selon la « proposition et le constat quantique », nous n'avons pas au départ une opinion sur une question, mais nous disposons de toutes les opinions possibles à la fois !... (Cela s'appelle avoir une « superposition d'états ».)
L'ouverture, l'assemblage de données disponibles, est donc assez large, diversifié et infini afin de donner au tri qui sera fait le maximum d'éléments constitutifs ou non de la réponse, de la décision, de la mesure à prendre...
L'Etat dans lequel nous serons une fois tous les états possibles mis en présence déterminera donc le choix retenu et appliqué...
Selon les lois de la physique quantique, une particule peut se trouver dans plusieurs états à la fois (elle peut être ici et là, tourner dans un sens et dans un autre...)
C'est seulement lorsqu'elle est soumise à une mesure effective que cette superposition d'états se réduit à un seul ; le résultat de la mesure...
Nous sommes alors selon les principes de la règle quantique un « Etat » susceptible, capable de se « superposer » à bien d'autres étrangers à notre personne mais en connexion possible avec nos réceptacles et capteurs personnels prévus à cet effet !...
Le choix, la décision, se réalise dans la « mesure qui est faite » laquelle est censée être « mesurée » c'est--dire, relever d'une sagesse soit d'un équilibre ou d'une harmonie...
Pour rappel, Mesurer (estimer, évaluer, apprécier, jauger, doser...) ; c'est aussi faire la juste part des choses et savoir placer le curseur de la balance au bon endroit...(En appréciant une valeur par rapport à une échelle de grandeur des dites valeurs par exemple.)...
En logique quantique, trancher une question s'appelle « réduire son paquet d'ondes »...
En fonction de toutes les connexions et réceptions opérées lors du questionnement, il s'agirait d'établir, de régler, d'affiner, l'onde de fréquence (entre question et possibles réponses) qui rassemblerait ce qui pourrait faire entendement et résolution puis ayant capter les « outils de la résolution » prendre toute la mesure de cela et conclure en l'Etat... (Il y aura les ondes « éliminées », non retenues et celles prises en considération du fait de leur adéquation possible au processus de résolution.)
Il a été démontré scientifiquement qu'il existe nombre de cas où, au lieu de calculer les probabilités de manière rationnelle pour faire un choix ou émettre un jugement, l'esprit humain viole les lois de la logique.
(Lorsque nous devons parier sur un événement, nous accordons systématiquement trop d'importance aux faibles probabilités et pas assez aux grandes, nous jugeons les événements proches plus désirables que les lointains, nous sous-estimons ce que nous ignorons... (Autant de biais de raisonnement qui dévient la trajectoire de la route tracée par la logique probabiliste.)
La question du libre arbitre se trouve de nouveau posée...
Quand je prends une décision, une mesure, quand je fais un choix, suis-je « seul » dans cet acte ou accompagnée, guidé, instruit, piloté, « extérieurement et indépendamment de ma personne » même si je demeure au moins « associé » dans le processus et que la décision « semble » m'appartenir ?
Y'a-t-il ou non, en nous-mêmes, une « manipulation » par un « agent extérieur » à notre désir et à notre volonté ?
Il m'apparaît toutefois au moins certain que pour le moindre nous sommes « associés » à tout processus de raisonnement...
Le principe vital, existentiel et évolutif repose sur des processus « symbiotiques » et il ne saurait faire exception à quelque niveau ou état que ce soit...
Par ailleurs, sans notre « libre choix », notre « libre détermination », notre « libre décision », notre « libre arbitre », notre « libre critique », toute expérience serait vouée à l'échec et serait sans aucun intérêt, ni progrès, ni découverte !...
J'évoquerais plutôt le terme « d'influence » et encore sous réserve de la portée réelle de celle-ci....
(Nos réactions illogiques dans une situation où l'on manque d'informations sont dues à un pur effet d'interférences quantiques.)
La cognition (faculté, capacité de connaître) quantique remet au cœur de la société les interactions sociales, et non les individus. Ariane Lambert-Mogiliansky
Pourquoi la nature aurait-elle implémenté (implanté ou installé) sous nos crânes une telle mécanique si complexe et parfois si illogique ? Parce que cela rendrait notre pensée plus performante...
L'enjeu est considérable. L’avènement de cette « cognition/connaissance quantique » bouleverserait l'idée que nous nous faisons de notre propre identité, notre « moi » devenant le regroupement d'une multiplicité de personnalités avec des désirs différents. Un « moi » multiple, en interdépendance permanente avec l'extérieur. (Ceci bien éloigné du « moi » classique, parfaitement individualisé, centralisé et déterminé.)...
« Je » est un autre disait le poète et visionnaire Arthur Rimbaud...
Il est donc ( en logique quantique) un singulier pluriel...
Ainsi le Moi se fait état constitutif d'un Soi lequel en tant qu'agent extérieur et représentatif du Moi est en contact étroit avec la Conscience universelle alimentée par toutes les consciences à l'oeuvre et en évolution, autant individuelle que collective et communautaire !...
Le devenir humain (si le devenir demeure) ne peut trouver sa voie
son axe, ses lignes de force et de vie, que dans cette « conscience de la Conscience » !.... (Là où réside un point de « vérité », « d'Unité » qui fait équilibre et harmonie entre tout être et toute chose !)...
Un cantique est un champ d'action de grâce élaboré, consacré, chanté... pour la gloire d'un Dieu...
Un cantique demande un Choeur pour clamer sa ferveur, sa croyance, son espérance...
Les homonymies ici s'éclairent et se renforcent « logiquement » et « vibratoirement »...
Clamer la beauté, la splendeur de toute la Création passée, présente et en devenir implique un choeur d'humanité faisant de ses assemblements un cantique comptable de tous les « nombres d'or » et pour ce, en accordant chacun et chacune à sa « juste mesure, tous et toutes à leur juste mesure ! »...
Additif : Du côté de « Entre »...
Interférence, interdépendance, interrelation, interpénétration, interconnexion, interaction, intermédiation...
Entre ( exprime l'espacement, la répartition ou une relation réciproque)...
« Entre » est un espace symbiotique de conciliation... un vecteur, un facteur de conciliation ou réconciliation (l'antre même de la conciliation/médiation)...
S'assembler en joie, en respect, en connaissance et reconnaissance, en paix et en amour.... c'est être « Entre »
C'est pemettre au moi (l'individu) d'exprimer son « être » par le Soi en associant celui-ci au Soi collectif qui a conscience d'être à la fois en tant que « personne », mais aussi en tant que Conscience unifiée et harmonisée...
Un véritable et authentique rituel se situe au sein même de cet « Entre »... Entrer dans le Cercle trouve en cela et par cela son sens et son Essence...
Une Tradition spirituelle est, par Essence,vectrice et factrice de « médiation » associant une conscience singulière, la pluralité des consciences à la Conscience matricielle afin que choix soit fait du juste, du vrai, du beau, du concordant, de l'aimant, du cohérent....
Une Tradition transmet de génération en génération des ondes sur une fréquence offerte et donnée qui se veut participer à un processus de conscientisation dont la finalité est d'instaurer ou de restaurer des équilibres et des harmonies qui participent en tant que tels à la Loi d'Evolution et à la pérennisation du Vivant et des potentialités qu'il contient et qui se doivent d'être identifiées, révélées et ouvragées...
Il est fort difficile d’appréhender ces nouvelles lois dites quantiques surtout avec un cerveau objet de bien des conditionnements à travers des siècles d'exacerberration du cartésianisme et de l'individualisme ambiant...
Mais une pensée traditionnelle et ses facultés liées à la création, à l'inspiration, à l'imagination et à la novation, à capacité d'oeuvrer au-delà et par-delà les barrières psychologiques et les héritages sociologiques et éducatifs... Elle peut visiter et pénétrer « tous les mondes » et tout l'univers...
Elle sait pénétrer et interpénétrer autant l'intériorité que l'extériorité, le dedans et le dehors, l'ici et l'ailleurs...
Nous en sommes scientifiquement à des extrapolations pertinentes, mais le monde traditionnel nous a ouvert depuis très longtemps des « espaces-temps » ouvert à la transcendance, à la vision sensible, émotive autant qu'intelligente et savante...