Succès de l'exposition de notre amie Danielle Landry Jais :

 

Notre amie peintre Danielle Landry-Jais a exposé ses œuvres graphiques du 5 au 11 juillet dans la galerie les Régates au Val-André (22370).

Son exposition a rencontré un très beau succès bien mérité par ailleurs... Sur 30 tableaux exposés 18 ont fait l'objet d'une acquisition ce qui démontre l'attrait du public...

 

Vous pouvez visiter la dite exposition en vous rendant sur le présent blog...

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Echos et Résonances après la belle tenue de la FETE DU VIVANT :

 

C'est après avoir frôlé les portes du Tir na nOg que j'ai souhaité concélébrer la Vie et lui exprimer ma gratitude associée à celle de mes frères et sœurs en humanité...

 

Nos rituels celto-druidiques de la Roue de l'Année sont à la fois un hommage fait aux Forces-Energies et Lumières Incréées, l'expression fervente et aimante d'un « Merci », une reconnexion sensible et intelligente avec le sacré et le divin, l'expérience incarnée d'un anima spirituel, le retour à une phase d'équilibre et d'harmonie qui dispense un soin à tous et à chacun et à toute la Planète elle-même... Et la manifestation individuelle et communautaire d'une pensée « symbiotique » fait d'entendements et de compréhensions impulsés par une conscience et une liberté hautement responsable, claire, cohérente et lucide...

 

Ces rituels célèbrent, concélèbrent en fait le Vivant en tous ses règnes ainsi que les cycles et les lois de l'Univers....

 

Les « intermédiaires », intercesseurs, que sont les Dieux et les Déesses nous conduisent vers la perception d'un Principe alliée à une Essence dont nous sommes pour partie l'Anima... (mais la Partie est extraite d'un Tout qui se reflètent en ses Animas!)...

 

Et quel que soit le temps, quelque soit l'espace, le Souffle inspirant de l'Awen visite les cœurs et les esprits prêts à l'accueillir, à lui faire confiance, à le respecter et à l'honorer......

 

Concélébrer donc le Vivant dans le désir et la volonté et manifester communautairement une envie de Vie, un élan de Vie, une dynamique de Vie, un partage de Vie, une synergie d'Energie, de Force et de Lumière tel était le projet de cette assemblée du Vivant et ce but a été atteint... merci à tous et à toutes pour cela...

 

Ce qui a été proposé (vivre un état de réelle humanité) a été réalisé grâce à la participation heureuse, volontaire et consciente de tous et de chacun...

 

Vivre cela, c'est retrouver espoir, c'est se soutenir et s'accompagner, c'est redonner confiance, c'est « soigner » par des mots, des silences et des actes...

 

C'est dire non aux peurs, doutes, craintes, appréhensions et dire oui à la Vie qui ouvre et qui offre d'autres perspectives que celles qui plombent notre société actuelle...

 

C'est vivre solidairement dans la bonne joie des yeux, des oreilles et du cœur...

 

Merci encore pour tout cela....

 

 

 

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Echos et résonances après la FETE DU VIVANT :

Laurence B

J'ose le dire : ces 2 jours et 3 nuits passées en votre compagnie ont laissé des empreintes qui transforment ma vie! Quelle source et ressources inspirantes... Quel bonheur, quelle douceur en mon cœur de cette joie partagée, en toute simplicité et le plus naturellement du monde!

MERCI à toutes et tous pour le don de vos belles âmes (bien vivantes!), gratitude à l'Univers qui a soufflé l’idée merveilleuse de cette rencontre à ton oreille Bran Du et à toi d'incarner la Vie de manière si féconde! Heureux anniversaire... et vive la Vie dans l'amour et la confiance. Ensemble.

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Erwan :

Que de Beaux
et Chaleureux Souvenirs
Merci Bran du.
D'avoir initié et porté cette Fête du Vivant

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Claudia

Souvenirs magnifiques. Gratitude à Matthieu pour les photos, à Alexis pour son lieu rayonnant, à Bran Du pour son investissement et ses talents d'organisateur, toujours en belle rayonnance. Merci à tous et chacun pour son implication et sa présence.

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Erika

« j'ai passé un merveilleux moment à vos côtés merci encore pour cette belle fête. »

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Klaer

Ces images sont si belles.
Elles parlent bien de ces moments, que tu as initiés, hautement sourçant.
Trugarez druiz pour tout cela aussi.

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Dorothée :

J'ai fait une soixantaine de kilomètres (à vélo)pour rentrer et malgré la pluie j'avais le cœur rempli de joie, de sérénité et de bonheur. Merci encore pour tout cela, échanges, rires, chants, histoires, citations et références littéraires. 

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Typhaine :

Merci encore pour cette belle fête du vivant...

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Albertina (Pascale)

Quel étrange voyage sur les Terres d’Alexis ! Que d’étranges créatures rencontrées parmi les perles de pluie tissées de poésie, de contes, de légendes...
Pluie mélodieuse du cercle de tambours, de flûte, de guitare et de harpe, de voix aussi ! Enchanteresses
Pluie de roses, de mauves, de lichen entrelaçant le millepertuis qui désormais parfume ma demeure !
Pluie d’instants magiques qui éclipse ma raison résistant à la joie, à la danse, au Vivant !
Gratitude à la Vie, à toi Bran du pour ta sagesse et ton humour aussi ! À toi Erwan pour ta généreuse bienveillance, à Christophe, Phil ou, Hélène, Erika et tous les Créateurs d’enivrantes musiques, aux voyageuses et voyageurs… Merci!

Aux hôtes de la Guette, mon Pays, ma Renaissance. 
A la pluie, source de vie.

Lentement J’ai quitté la protection des arbres de la forêt, lentement je suis revenue du ciel à la terre.
Serai-je devenue apprentie-sage grâce à vous ? J’ose l’espérer !
Je vous aime

Pascale

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Paskal :

Un message pour te remercier toi ainsi que tes mai(e)s musiciens(nes) pour votre partage chaleureux, généreux, convivial et bienveillant...

L'univers celto-druidique est passionnant et, humblement pour moi, rejoint ma philosophie du taoïsme...

Les 3 chaudrons sont la même chose que les 3 foyers...

Merci beaucoup à toi et à vous...

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Gilbert et Bran du en concert...

 

 

Concerts estivaux été 2021 :

 

Si vous êtes en Corrèze cet été Gilbert Aubert et Bran du seront de concert dans l'Eglise de Meymac (19250) le lundi 19 juillet à 20 H (concert de musiques et chants celtiques) (gratuit)...

 

De même à Sauveterre de Rouergue (Aveyron 12800) 2 concerts entre le 27 juillet et le 01er Août (Eglises du village)...

 

 

 Un concert pour tous les âges...

 

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Le Blog : Bientôt 10 ans d'existence au service de la Tradition, de ceux et celles qui la servent et de ceux et celles qui viennent à sa rencontre...

 

Ce blog a été créé le 22 août 2011.

Il fêtera donc ses 10 ans d'existence le 22 août 2021...

Il a reçu à ce jour : 244 880 visites...

Publié 2719 articles...

Et suscité 670 adhésions et 854 commentaires...

 

Merci à tous et à toutes pour votre fidélité et vos encouragements...

 

Du fait d'un voyage dans le Sud Bran du ne sera pas disponible pour alimenter le dit blog entre le 14 juillet et le 3 août...

 

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La Lugnasad 2021 se tiendra le samedi 07 août sur le secteur de Pléneuf-Val-André (22370).

Préparation en commun le matin à 10 h, rituel vers 13 H et repas partagé à la suite. Merci de me prévenir au préalable de votre venue...

P.S. La baignade est possible en fin d'après-midi...

Merci si vous souhaitez participer à la cérémonie de me contacter et de vous reporter aux articles qui traitent de cette fête.

Voir la rubrique Roue de l'Année : la Lugnasad.

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Le livre de cuisine gauloise : https://ysec.fr/boutique/livres/livres-de-cuisine/cuisine-gauloise/

 

 

 

La cuisine gauloise de Brigitte Leprêtre

 

avec la participation de notre amie Dorothée Buffetaut

 

35 recettes pour aujourd'hui / 10 euros plus frais de port...

 

Nombreuses illustrations...

 

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LES RECETTES GAULOISES TRADITIONNELLES DE LA GAULE
SPECIALITES, METS et PLATS dans la NOURRITURE DES GAULOIS 

Présentation succinte de la cuisine traditionnelle des Gaulois et des Celtes à usage de ceux qui souhaitent réaliser la reconstitution d'un festin ou d'un repas  lors d'une fête gauloise.

A votre service, ces quelques pages : 

 

PRESENTATION et DEFINITION

L’alimentation des gaulois reste un sujet mal appréhendé.
En effet, la culture celtique, orale, demeure très avare en textes et les auteurs latins ont rarement évoqué les mets de ces « barbares ».

Les textes antiques sont peu nombreux, brefs ou vagues, présentant une vision assez anecdotique et caricaturale. Polybe (milieu du IIe siècle av. J.-C.) décrit les Gaulois "couchant sur des litières, ne mangeant que de la viande".

Athénée (première moitié du Ier siècle av. J.-C.) nous explique que "les Celtes après avoir étalé du foin par terre, servent leur repas sur des tables de bois basses.

Leur nourriture comprend peu de pain, mais beaucoup de viande bouillie à l'eau dans des chaudrons et grillée sur des braises ou à l'aide de broches".

Ce sont les Phocéens qui ont apportés l'usage du pain, comme celui du vin.

 

 

Les recherches actuelles sur de nombreux restes végétaux témoignent d'une alimentation nettement plus variée (présence de légumineuses et de légumes).

La viande reste un produit onéreux et sa consommation est, semble-t-il, réservée à des occasions spéciales comme les banquets qui pouvaient rassemblés des centaines de convives.
L'image d' Epinal du gaulois dévorant un sanglier est une invention de bande dessinée, et ne correspond en rien à une réalité historique.

L’essentiel des animaux provient donc d’espèces domestiques : bœuf, porc, capriné, urus (auroch) et de manière beaucoup plus réduite le chien et le cheval. Les banquets étaient organisés non seulement pour des motivations gastronomiques, mais aussi sociales, politiques et religieuses.

On pouvait y boire du cidre, de l'hydromel et une espèce de bière.

On doit aux Gaulois l'invention du tonneau de bois cerclé de fer pour le transport du vin.

 

 

Le caractère sacré de la nourriture chez les Gaulois, s’exprimait encore dans les rites de l’Au-delà. On prenait soin de rendre hommage une dernière fois à l’être aimé en organisant un repas en son honneur. Et on n’oubliait pas de lui laisser sa part. Ainsi l'archéologie nous révèle nombre de tombes contenant vin, jambon et autres victuailles.

 

 

Diodacre de Sicile, historien grec (mort vers 20 avant notre ère), publie la Bibliothèque historique dans laquelle il décrit les repas des gaulois : " Quand ils prennent leurs repas, ils sont tous assis, non pas sur des chaises mais sur le sol, utilisant pour cela des litières couvertes de peau de loup ou de chien.

Ils sont servis par de jeunes enfants, parvenus cependant à l'adolescence, des garçons et des filles.
Près d'eux sont disposés des foyers où le feu est intense et qui sont garnis de chaudrons et de broches pleins de beau quartiers de viandes."

 

Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, V, 28

LE CHAUDRON, ustensile central de la cuisine gauloise et celte

 

À côté des récipients en céramique, la cuisinière gauloise n'avait  ni poêle ni casserole mais disposait d'un chaudron métallique ou de plusieurs, de différentes capacités.

Le mot chaudron évoque à chacun l'image d'un récipient en bronze, à fond arrondi, profond, ventru, légèrement resserré sous un col droit, à large ouverture, avec une anse. Il est  prédestiné aux cuissons à l'eau.

Les chaudrons connus par l'archéologie contiennent de 8 à 80 litres, et quelquefois davantage.

 

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37e édition des Rencontres internationales de harpes celtiques : du 13 au 18 juillet 2021.

 

 

À Dinan, la harpe qui groove !

 

 

Tout au long de ces mois de crise, le Crihc et la Maison de la harpe n’ont cessé de porter haut et fort la réalité d’une harpe celtique vivante. Ce fut, l’été dernier, un combat, mais il a porté ses fruits. Les cordes de la harpe ont vibré dans de nombreux « petits lieux ». Notre association s’est mise en mouvement pour amortir le choc de la crise.

 

 

En 2021, on reprend nos habitudes, en s’adaptant s’il le faut. Nous ferons dialoguer la musique celtique avec la musique africaine, l’irlandais avec le flamenco, l’écossais avec le jazz et le breton avec le latino-américain. Voilà notre manière.

Fi des grincheux évoquant l’hérésie et craignant les métissages !

Cela fait 36 ans que les Rencontres explorent cette vision contemporaine de la harpe et elles n’ont jamais manqué de pertinence musicale. Et le 14 juillet, j’aurai l’honneur de célébrer mes 50 ans de scène avec de nombreux amis musiciens.

 

 

Notre équipe performante se mobilise avec un plan qui répond à trois priorités : soutenir les harpistes et les luthiers, pérenniser nos rencontres et être à l’affût de nouvelles pratiques. Nous sommes nombreux à rêver que 2021 nous permette de retrouver notre liberté, notre vie culturelle et nos moments de convivialité.
En route pour de nouveaux horizons et de belles surprises !

 

 

Myrdhin (fondateur et directeur artistique)

 

Contact : 02 96 87 36 69 www.harpe-celtique.fr

 

 

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Rappel Fêtes conviviales à la Guette en Brocélande (avec Alexis et l'équipe de L'assoxciation la Guette Terre et Partage)

 

Les 14 et 15 juillet. Les 14 et 15 août (fête de la joie) et le 4 septembre (fête intergénérationnelle)...

 

Contact : Alexis  02 99 07 83 17

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La Revue Natives (Des peuples, des racines)

 

 

« L’homme n’a pas tissé la toile de la vie, il n’est qu’un fil de cette toile.Quoi qu’il fasse à la toile, il le fait à lui-même. »

 

CHEF SEATTLE

 

 

 

Quand l’humanité est égarée dans un monde qui lui-même se perd, elle doit savoir remonter aux sources de ses origines pour se retrouver, en un temps où tout était vivant et où l’équilibre nécessaire à la vie reposait sur l’interdépendance de toute chose.

 

Les peuples autochtones portent toujours cette vision globale et sont les derniers gardiens de la biodiversité depuis des millénaires.

 

 

Manifeste

 

 

Être une plate-forme permettant aux peuples racines de s’adresser au monde, et permettre à nos publics d’appréhender la profondeur de leur enseignement intemporel.

 

 

• Porter leurs voix, présenter et défendre leurs positions et leurs propositions sur les plans politique, environnemental, culturel, de défense et de reconquête territoriale et de leurs droits fondamentaux, mais aussi au plan spirituel et de conservation de leur savoir-faire et savoir-être ancestraux.

 

• Mieux faire connaître leur vision du monde,  leur cosmologie, contribuer à notre réveil spirituel, participer à l’éveil d’une véritable conscience planétaire.

 

• Permettre des passerelles entre nos deux mondes (leur tradition et notre modernité) par des échanges entre leurs représentants et les nôtres. Publier les résultats de ces travaux.

 

• Faire connaître et soutenir des projets portés par eux ou par des ONG engagées de longue date.

 

• Nous sommes persuadés que mettre en valeur la défense et la parole, installer un dialogue avec les peuples racines, constituent un enrichissement extraordinaire pour tous. Les soutenir et protéger la nature bénéficie à l’humanité et à la continuation d’une vie possible sur cette planète.

 

• Nous souhaitons développer une qualité de ligne éditoriale en constituant une équipe de contributeurs de haut niveau.

 

 

Environ 5 000 communautés, 370 millions d’autochtones habitent encore notre planète. 

 

 

• Le média est né d’une rencontre entre des personnes partageant des valeurs communes et un engagement de longue date, soit auprès de peuples racines, soit autour de causes environnementales, voire les deux.

 

• Le recueil de 408 pages regroupe les 3 premiers numéros (épuisés par ailleurs)

 

• 25 euros + 3 euros de port = 28 euros

 

Abonnement 1 an 4 numéros 27 euros

 

 

La ligne éditoriale :

 

 

Privilégier la parole directe des représentants de peuples racines (directement ou au travers de leurs représentants) des cinq continents. S’appuyer sur des contributeurs, journalistes, auteurs, experts de ces questions dans les domaines culturel, politique, écologique, scientifique, artistique et autres.

 

 

• Magazine d’information et de réflexion destiné au grand public, NATIVES n’est en aucun cas une revue de type universitaire dédiée à l’approche ethnographique ou anthropologique.

 

• Il s’agit de mettre en lumière la modernité de la voix de ces peuples et l’enrichissement que la civilisation occidentale peut y trouver, non pas dans la perspective d’un réenchantement du monde mais d’une élévation de tous dans le respect de l’humanité, de la nature et de la planète.

 

• C’est pourquoi le regard porté sur ces peuples n’est ni condescendant, ni idéaliste, ni revendicatif, et vise avant tout à privilégier l’aspect « miroir des connaissances ».

 

• Permettre un « échange fructueux » entre leur savoir traditionnel et notre modernité, au travers d’articles retraçant des collaborations et travaux en commun, notamment auprès de scientifiques.

 

• L’ouverture est périphérique et transdisciplinaire, à l’écoute de l’actualité parfois tragique de certaines communautés tout comme de leurs savoirs immémoriaux. NATIVES entend montrer combien ces cultures sont vivantes et indispensables à la construction d’un futur souhaitable pour l’ensemble de l’humanité.

 

 

Contacts / Abonnements...

 

(Revue non distribuée en kiosque mais sur abonnement...

 

Contacts.natives@gmail.com

 

15 rue de la Côte des Benes 31600 Muret (France)

 

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Bernard Boisson (photo Bran du)

 

 

 

Un message de notre ami Bernard Boisson

 

 

Bonjour,

 

 

 

Je vous informe de la parution de mon dernier article  « la contemplation active dans une société contemplicide » dans la rubrique « écopsychologie » du n°140 de la revue 3e Millénaire.

 

 

 

Cette revue n'est plus diffusée en kiosque, mais toujours commandable en version papier ou en fichier numérique sur internet :

 

 

 

https://www.revue3emillenaire.com/shop/home/249-n140-au-coeur-du-mystere-detre.html

 

 

 

Cet article présente la difficulté de l'artiste contemplateur a exister dans les mentalités professionnelles de notre époque en se retrouvant exposé aux positions très délicates de « méditant-militant ».

L'expression « méditant-militant » dont je ne suis pas l'inventeur est séduisante et interpelle en nous un niveau de présence plus profond pour répondre à la crise écologique du monde actuel. Elle place cependant dans une situation délicate ceux qu'on a appelé parfois « les créatifs culturels » qui étaient déjà par l'inspiration dans « l'émerveillement », « la contemplation », « le beau ».

 

Cette situation délicate n'est pas éprouvée et comprise des intellectuels qui de plus en plus abordent ce sujet s'en s'être expérimentés eux-mêmes à vivre tout ce que l'on rencontre en réalité entre le sensible et sa transmission vers nos mentalités contemporaines...

 

 

 

Beaucoup de subtilités psychologiques et éthiques sont à comprendre dans cet engagement et posent question sur la nature de notre "réussite".

 

Ainsi, cet article relate la compréhension, la force intérieure et la conscience collective qui nous est nécessaire quand on aborde ces sujets et qu'on veut leur donner plus de force.

 

 

 

La revue 3e Millénaire a édité aussi un numéro spécial rassemblant les portfolios d'artistes qu'elle a publié sur plusieurs années :

 

 

 

https://www.revue3emillenaire.com/shop/home/245-hors-serie-n2-portfolios.

 

 

 

 

 

Bien primordialement Bernard Boisson

 

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 Achillée Millefeuille photo Bran du

 

L'achillée millefeuille, la "petite plume" aux milles vertus...

 

 

 

Une information (newsletter) de Florence Laporte :

 

 

 

 

 

Bonjour ,

 

Aujourd’hui, en cette période idéale de cueillette, où les plantes nous offrent le meilleur d’elles-mêmes, la beauté de leurs fleurs et la richesse de leurs principes actifs, je vous présenterai une « herbe de la Saint Jean », au bouquet du solstice d’été : la puissante Achillée Millefeuille.

 

 

Puissante et très commune, puisqu’on la trouve partout en France, aux bords des chemins et des routes, aimant les talus, les pelouses et les prairies, comme les clairières forestières, les vignes, les vergers et les terres remuées et piétinées.

 

 

Elle fleurit et se récolte de juin à septembre, car, « pour le bien des humains », feuilles, fleurs et tiges sont comestibles.

 

 

Cette vivace qui tapisse le sol de ses stolons rouges peut atteindre 1 mètre de hauteur ; sa tige, rigide et fine, est angulaire, velue, aux poils blanchâtres.

 

 

Les fleurs multiples, en bouquet, blanches ou roses, sont regroupées en petits capitules eux-mêmes disposés en corymbes compacts : elles forment de loin comme des ombelles, mais l’achillée est bien une astéracée ! Peu de risque de confusion avec les belles toxiques, même si, quand seules les feuilles basales sont visibles, un œil exercé s’impose.

 

 

C’est pourtant la forme de ses feuilles qui la caractérise le plus : d’un beau vert foncé, très allongées, très fines, profondément découpées en segments se terminant légèrement en pointe, on appelle l’achillée dans certains pays « plumajillo » (petite plume) ou « queue de renard », pour ses jolis plumeaux. A la regarder, facile de retenir son qualificatif latin : Achillea Millefolium !

 

 

Et Achille dans tout ça ? Le grand Myrmidon, certes aurait combattu un contre mille, mais celui qui aurait eu « l’esprit bien tranquille, n’était son talon », aurait eu d’autres talents : initié au savoir des plantes par le Centaure Chiron, il aurait soigné les blessures de ses compagnons grâce aux propriétés de cette herbe sauvage.

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